Dans le cadre de la révision du Certificate of Primary Education (CPE), le ministère de l’Éducation tiendra un forum consultatif national d’une journée, ce lundi à Ebène.
Ce forum rassemblera les acteurs du secteur éducatif, notamment des pédagogues et des syndicats, entre autres. Il offrira une occasion aux participants de réfléchir sur les questions relatives au CPE et à faire des propositions en vue d’améliorer la performance des élèves à la fin du cycle primaire. À cet égard, les personnes et les organisations qui souhaitent contribuer à cet exercice à Maurice, Rodrigues et Agalega, ont déjà soumis leurs propositions/entrées par écrit au MITD House, Phoenix. Le ministère de l’Éducation a affirmé que jusqu’à présent, ils ont eu plusieurs recommandations.
Pour Vinod Seegum, le président du Gouvernment Teachers’ Union (GTU), a salué cette initiative. Il a, cependant, indiqué que l’objectif n’est pas clairement défini. Il s’est dit contre l’abolition des examens du CPE et a, même, ajouté qu’il est nécessaire d’avoir ces examens afin d’évaluer le niveau des enfants. Il a, de ce fait, soutenu que le curriculum doit être amélioré avec en toile de fond une panoplie de mesures d’accompagnement pour rendre ces examens moins effrayants.
Concernant les résultats du CPE, Vinod Seegum a rappelé l’infime hausse, soit 68,54%. Le taux d’échec est de 35 % et il qualifie cette situation de véritable fléau. Il a souligné que l’objectif du ministère est d’atteindre 70 % de taux de réussite en 2010.
Pour Vinod Seegum, le président du Gouvernment Teachers’ Union (GTU), a salué cette initiative. Il a, cependant, indiqué que l’objectif n’est pas clairement défini. Il s’est dit contre l’abolition des examens du CPE et a, même, ajouté qu’il est nécessaire d’avoir ces examens afin d’évaluer le niveau des enfants. Il a, de ce fait, soutenu que le curriculum doit être amélioré avec en toile de fond une panoplie de mesures d’accompagnement pour rendre ces examens moins effrayants.
Concernant les résultats du CPE, Vinod Seegum a rappelé l’infime hausse, soit 68,54%. Le taux d’échec est de 35 % et il qualifie cette situation de véritable fléau. Il a souligné que l’objectif du ministère est d’atteindre 70 % de taux de réussite en 2010.
Source: Le Matinal
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